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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 17:18

 

André Minvielle / Marc Perrone

 

Pren lo porta-votz

Cap a gaucha, cap a dreta

Pren lo porta-votz

Shens vergonha calandret'

L'alen e lo jòc

Estacats au hons deu potz

Patchic

Patchoc

Deu costat de Santa Crutz

 

Canta au porta-votz

Per anar cercar paratge

Canta au porta-votz

Per anar aus emponts d'atges

Sus los caminaus

De l'arrua tà la hont

Contes comunaus

De l'arrua dinca l'empont

Soi anat dab la vesina dançar cumbia campesina

 

L'Aranesa una latina

Parla gascon alegria

 

Minoritats en barralhas

A boca de nueits arrajan,

Quan las vitas s'acabalhan

A hum de calhaus parpalhan

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9 octobre 2011 7 09 /10 /octobre /2011 17:57
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9 octobre 2011 7 09 /10 /octobre /2011 16:59

 Sur le site des copines, les voix: http://canailledumidi.free.fr/?Son-la-mondina.

 


 

mondina.jpg

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 18:16

Le soleil s'est à nouveau levé

Les arbres aérés n'osent frémir

Dans l'attente d'une foule de rires

Les sangliers tremblent sous les fourrés

 

Tiens là un sourire malicieux

Derrière un chêne des yeux brillants

Tandis que deux spectres titubants

S'épaulent, jurant le poing vers les cieux

 

Un souffle balaye ces berlues

Le travail cherche son journalier

En vain dans cette clairière hantée

Ennui et quotidien sont vaincus

 

Oui mais le cynisme des corbeaux

Du haut des arbres, plein d'arrogance

Gavé d'orgueil et d'opulence

S'endort suffisant tel un gogo

 

Et gare aux tremblements du tambourin

Car grondent les chants de la lutte

Et derrière le charme d'un "chut"

La camaraderie bat son plein

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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 18:48

Les photos inéditesimage.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

11440_-_HPATGDOEQPYE.jpg et l'album.

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24 septembre 2011 6 24 /09 /septembre /2011 13:40

Le 15 octobre, la chorale chantera à Saint Marcel (Marseille 11 Arrondissement) pour Emmaus (route d'Aubagne) et un détachement indéterminé de choristes se rendra à Avis aux Gnons( 83) chez des anti nuke; Quel programme!

St Marcel est près d'une gare direction Aubagne.

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12 août 2011 5 12 /08 /août /2011 22:03

TIBETMusique : Du chant comme acte de résistance

 

L’univers sonore du Tibet est profondément marqué par sa situation politique, constate un musicologue qui fut incarcéré durant de nombreuses années.



 Ngawang Choephel (à droite) sur le tournage de son documentaire "Tibet in song". (Photo via Wikimedia Commons/Voice of America)

Ngawang Choephel (à droite) sur le tournage de son documentaire "Tibet in song". (Photo via Wikimedia Commons/Voice of America)

e musicologue Ngawang Choephel est né au Tibet, a grandi en Inde et vit maintenant à New York. En 1995, il se rendit dans son pays natal pour enregistrer les effets d’un demi-siècle d’occupation chinoise sur les arts populaires tibétains. Arrêté pour espionnage, il fut condamné à dix-huit ans de prison, mais libéré en 2002 à la suite d’un mouvement de protestation international. Il revient aujourd’hui à son sujet d’une tout autre manière : un documentaire passionné et polémique qui présente un monde de chants et de danses en voie de disparition, et qui est en même temps un cri de rage devant son extinction. 

Choephel raconte son histoire à la première personne et l’applique à son peuple dans son ensemble. Ce n’est pas une exagération : son parcours et sa colère grandissante reflètent ceux de la diaspora tibétaine. Tibet in Song entremêle les prises de vues datant de son voyage de 1995 et qui n’ont pas été confisquées, des images d’archives et des entretiens avec des artistes et des réfugiés exilés à Dharamsala, en Inde, où l’Institut tibétain des arts de la scène (Tipa) est le dernier refuge d’une tradition populaire jadis dynamique. 

Le film rappelle en accéléré l’histoire du Tibet d’après la Seconde Guerre mondiale – l’invasion de 1950, l’arrivée massive de Chinois, les soulèvements de 1959, 1969, 1988 et 2008 –, mais l’accent est mis sur l’écrasement systématique de la culture par la république populaire de Chine. Cela va de l’interdiction de chanter et de danser en public à la présence de haut-parleurs qui crachent à plein volume des chants communistes et de la pop vingt-quatre heures sur vingt-quatre dans les espaces publics. Ce que les autorités ne peuvent étouffer, elles l’absorbent : c’est ainsi qu’on peut voir de faux opéras populaires tibétains et des concours de chœurs qui reprennent des mélodies traditionnelles avec une instrumentation pop et des paroles nationalistes. Le public local observe ces impostures d’un air morne, avec un visage sans expression, tel un prisonnier dans son propre pays. 

Pour Choephel, la musique peut être un moyen de résistance, et le silence peut être la forme de protestation la plus puissante. Il s’entretient avec trois jeunes femmes qui ont été régulièrement battues en prison parce qu’elles refusaient de chanter l’hymne national chinois. Elles ont eu de la chance : cinq autres prisonniers sont morts sans avoir cédé. 

Le titre Tibet in Song [“Le Tibet en chansons”] est profondément ironique : la musique qui reflète la modernité actuelle est une cacophonie, une pollinisation mâtinée d’Orient et d’Occident. Yadong, la star de la pop tibétaine, chante en chinois pendant qu’un groupe punk fulmine dans sa langue maternelle sur fond d’accords rock. Les anciens chants n’existent plus que dans les villages de montagne ou à l’étranger, chez les réfugiés vieillissants et les professionnels engagés. Les boîtes de nuit de Lhassa sont bourrées de systèmes à karaoké et de chansons d’amour chinoises sirupeuses. Choephel montre une femme très âgée qui chante un air ancien dans la rue. Un policier arrive. “Grand-mère, ne dansez pas ici”, lui dit-il avant qu’elle ne retourne en clopinant dans le passé.

Trouvé par Pamela dans Courrier International.

 

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12 août 2011 5 12 /08 /août /2011 21:58

 

Des musiciens de ragga et de dancehall de New Delhi sont partis à la rencontre d’une figure de l’Inde rurale, un paysan qui chante sa révolte depuis des années. Ensemble, ils ont fait une vidéo. Reportage dans Caravan.

20.12.2010 | Margot Bigg | The Caravan


 Le site web - "Word, Sound & Power : projet Bant Singh”

Le site web - "Word, Sound & Power : projet Bant Singh”

Paru dans

 

Aller sur le site de Direct Matin

 

Imaginez que vous êtes un paysan pauvre sans terre. Les parcelles que vous cultivez ne seront jamais à vous. Vous risquez d’être réduit au silence par votre situation. Bant Singh échappe à ce postulat. Agé d’une quarantaine d’années, il chante des chansons révolutionnaires depuis son adolescence. Cet homme est un dalit [intouchable] sans terre du village de Jhabbar (district de Mansa), dans l’Etat du Pendjab [nord-ouest de l’Inde]. C’est aussi un militant du MMM, la branche locale du Parti communiste indien. Malgré les terribles expériences qu’il a vécues, dont une agression qui lui a coûté deux mains et une jambe, Singh poursuit imperturbablement son action. Il continue de chanter des chansons contestataires, qui racontent l’histoire des paysans pauvres issus de castes inférieures de tout le pays. 


Il y a quelques mois, trois jeunes musiciens de New Delhi – Samrat Bharadwaj, Taru Dalmia et Chris McGuiness – se sont rendus dans son village. Au bout de quatre jours passés en sa compagnie, ils ont monté le “projet Bant Singh”. Il s’agit d’un court-métrage de douze minutes, Word, Sound & Power, dans lequel Taru Dalmia chante avec Bant Singh. Ce documentaire est disponible sur YouTube et raconte l’histoire du chanteur à travers des interviews et des chansons. “Le plus gros problème s’est présenté quand nous avons compris que nous allions nous heurter à une énorme barrière linguistique, raconte Samrat Bharadwaj. Une fois ce problème réglé, nous nous sommes rendu compte que nos idées étaient très proches.” Le documentaire a été tourné en anglais et en pendjabi, et les chansons sont interprétées dans les deux langues. Toru Dalmia a écrit les paroles en anglais sur place et les a fait traduire pour Bant Singh. Chris McGuiness et Samrat Bharadwaj ont composé les beats électroniques qui servent de fond aux chants traditionnels du Pendjab interprétés par Bant Singh et aux morceaux inspirés du dancehall chantés en anglais par Taru Dalmia. Assez curieusement, les deux voix semblent n’en faire qu’une. “Cela faisait longtemps que je cherchais des chanteurs révolutionnaires en Inde pour chanter avec eux”, indique Taru Dalmia. 



L’histoire que les musiciens avaient lue à propos du chanteur a été rapportée dans le documentaire. En juillet 2002, sa fille, âgée de 17 ans, a été violée par des proches d’un propriétaire terrien. Révolté, Bant Singh a poursuivi les agresseurs en justice et trois des quatre accusés ont été condamnés à la prison à vie. Mais cette procédure lui a valu de terribles représailles. En 2006, alors qu’il rentrait d’une réunion du MMM, le chanteur a été roué de coups. Transporté d’urgence à l’hôpital, il a dû attendre trente-six heures avant de recevoir des soins. Diverses hypothèses ont circulé à propos du refus des médecins de le soigner. Certains l’ont expliqué par le fait que Bant Singh est un dalit et donc un homme dont la vie ne vaut pas la peine d’être sauvée. Quoi qu’il en soit, ses blessures se sont infectées et la gangrène s’est déclarée. Transféré à l’hôpital, il a dû être amputé des deux mains et d’une jambe. Aujourd’hui, le chanteur vit sans prothèses et a besoin de l’aide de ses proches pour les tâches les plus élémentaires. Incapable de marcher, il est transporté sur une banquette. Pourtant, il continue à se battre contre les injustices dont souffrent les opprimés de son village. Comme il dit, ses agresseurs ne lui ont pas enlevé sa voix. 

“Les gens ont été offusqués de voir un pauvre paysan comme moi poursuivre des propriétaires terriens en justice”, dit-il dans le documentaire. “L’histoire de Bant Singh attire l’attention sur un fait peu connu”, note Samrat Bharadwaj, le directeur du projet, à savoir que, comme beaucoup d’ouvriers agricoles du Pendjab rural, le chanteur est un sikh dalit. Puis il revient au thème musical : “La musique et d’autres formes d’expression artistique ont un grand impact, car la plupart des gens ne veulent pas prendre les armes ou faire de la propagande. Le fait qu’on les utilise pour mettre des problèmes en évidence est un phénomène relativement nouveau en Inde.” 

Le documentaire sur Bant Singh doit une bonne part de son succès au fait qu’on peut y accéder facilement. L’élite urbaine qui dispose d’Internet découvre les chansons de Bant Singh, et le film est également bien accueilli par les habitants du district de Mansa. Selon Samrat Bharadwaj, certains semblaient un peu sceptiques pendant l’enregistrement, mais ils ont été soulagés une fois le film réalisé. “Ils l’ont davantage apprécié et ont particulièrement aimé le mélange des genres musicaux.”
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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 10:04

La réunion d'une dizaine de chorales révolutionnaires en Creuse, produira un récital à Royeres de Vassivieres ce vendredi 29 juillet 2011 à 18 heures. Nous vous attendons devant le bar L' Atelier.

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6 juillet 2011 3 06 /07 /juillet /2011 20:10

AVEC UN ÉNORME MERCI À LA CHORALE « LES VOIX DE GARAGE » QUI A INTERPRÉTÉ MAGNIFIQUEMENT « MERCI PATRON » DES CHARLOTS (c’était vraiment de circonstance !) ainsi que plusieurs chansons ouvrières, dont des chants de la Commune et des chansons antifascistes espagnoles et italiennes.

http://pix.toile-libre.org/upload/original/1309918722.jpg

Lucky, 5 juillet 2011.

 

Nantes : une manifestation accueille les participants à l’université d’été du Medef 44

Environ 70 manifestants se sont rassemblés ce lundi 4 juillet, devant la barge Nantilus à Nantes, où se tient l’université d’été du Medef de Loire-Atlantique. Les manifestants, qui ont répondu à l’appel d’un collectif, ont accroché des banderoles hostiles au capitalisme. Le rassemblement a été animé par les chants d’une chorale.

http://pix.toile-libre.org/upload/original/1309921378.jpg

Leur presse (Ouest-France), 4 juillet 2011.

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Répétions.

Les jeudis soirs à 18h 30.

Au Foyer du peuple rue Brandis (Métro Baille)

Rencontres Glières Mai 2015

 

Articles

On a chanté...

We sing a lot ce 27 Mai 2010 for the manif des Oldcegetistes et for the Walk des without Papers.

Nous chantames pour les paysans Atenco à Toulouse le 23 Mai.

Le 1er Mai 2010 pour les Cravailleurs et les Cravailleuses esploités.

Et pour la mise à la retraite de Bernard Thibault avant 60 ans.

Le 23 03 manif intrepro à Marseille.

Le 11 03 2010 en soutien aux sans papiers Maison du Peuple Kurde.
Le 12 03 contre les expulsions à Marseille.
Au carnaval de la plaine début Mars
Le 8 03 2010 a la Manif des Femmes
Le 11 12 2009, à Marseille : A Andiamo, séance de dédicace de Patxi + vin blanc
Le 05 12 2009, à Marseille : marche des précaires
Le 28 11 2009, à Marseille : Manif contre la privatisation de la Poste, les megaphones chauffent
Le 24 11 2009, à Marseille : Manif des postiers et de l'éducation nationale contre la casse des services publics.
Le 17 11 2009, à Marseille : Manif des enseignants désobéisseurs, devant l'IUFM, On est trois mais y'a l'ambiance.
En octobre 2009 à Marseille : Manif contre l'expulsion de sans papiers afghans.